Dialoguer avec les assurances et les administrations, dès le début du
processus d’indemnisation, permet :
- D’instaurer un climat de confiance, en considérant les
organismes régleurs comme des partenaires impliqués dans une affaire et non comme des adversaires à combattre.
- De réintroduire la dimension humaine, la réalité quotidienne de l’histoire de chacun. Ces
discussions régulières s’étalent tout au long du processus, ce qui permet à chacun d’avoir une connaissance approfondie de la situation des victimes et de la réalité de leurs préjudices, davantage
que par le biais d’écritures soumises au juge, ou le temps d’une audience.
- De négocier des provisions dans des délais courts, dans un climat d’ouverture et de transparence, pour des montants qui correspondent à la
réalité précise de chaque victime, sans avoir à demander l’autorisation au juge.
- D’organiser nous-même le calendrier des expertises en fonction des priorités
et des besoins de chaque victime, sans dépendre des exigences d’un expert judiciaire.
- D’accélérer la procédure.
- De ne pas avoir à exposer les frais d’action en justice.
- De ne pas dépendre de la décision du juge, ni pour les provisions, ni pour
l’indemnisation finale.